Pop'N, le Blog des Jeunes Populaires de l'Aisne

Interview de Xavier BERTRAND sur le site Jeunes Pop 02

Pourquoi soutenez-vous Nicolas SARKOZY ?

Je me suis engagé très clairement aux côtés de Nicolas SARKOZY dès sa déclaration de candidature parce qu’il est celui qui, à mon sens, est le seul capable de proposer un vrai projet de société pour la France et les Français axé sur la valeur du travail, sur l’identité nationale, sur la place des solidarités. Il a la volonté et la capacité de faire bouger les choses. C’est le candidat du vrai changement. C’est le seul qui ne décevra pas les Français.

Nicolas SARKOZY dit qu’il faut travailler plus. Est-ce que tout le monde en a envie et est-ce que ça ne va pas augmenter le chômage ? 

Aujourd’hui, l’une des priorités pour les Français, c’est l’augmentation de leur pouvoir d’achat. Ils savent bien que ce n’est pas en travaillant moins qu’ils gagneront plus. Nous voulons donc permettre à ceux qui le souhaitent de travailler davantage et donc de gagner davantage. Ainsi, grâce aux mesures que nous voulons prendre pour les heures supplémentaires, quelqu’un qui gagne 1 500€ par mois et décide de travailler 4 heures de plus par semaine gagnera à la fin de l’année 2 000€ de plus sans impôt.

Quelles sont les valeurs que vous défendez avec lui ? 

Je crois profondément à la valeur du travail dans notre société. Cela concerne bien sur le monde du travail mais cela concerne également la fiscalité car il ne faut plus décourager le travail comme on a pu le faire par le passé. C’est aussi la place et la valeur du travail à l’école, dans le système scolaire jusqu’à l’université. Par ailleurs, je crois que les responsables politiques ont aujourd’hui l’obligation de vérité, de dire toute la vérité, l’obligation de résultat et l’obligation de ne pas décevoir. C’est précisément ce dont a conscience Nicolas Sarkozy.

En quoi l’identité nationale est-elle importante ? 

Avec la mondialisation qui se développe, avec le rôle accru de l’Europe, il est important d’être fidèle à ce qui nous rassemble. L’identité nationale est justement ce ciment indispensable. Cela nous amène à réussir mieux encore l’intégration, à réussir également et à garantir ce « Vivre ensemble » auquel nous sommes tant attachés. C’est en étant fiers de notre identité nationale et fidèles à ce qui forge notre unité que nous pourrons être forts face à l’Europe et à la mondialisation et en relever les défis.

Dans le programme de Nicolas SARKOZY, quelles sont les mesures pour les jeunes ? 

Nicolas SARKOZY adresse tout d’abord un message clair et fort aux jeunes : il est possible de réussir en France et donc inutile de s’expatrier comme l’ont fait beaucoup d’entre eux. Nous voulons aussi les aider à réussir leurs projets, être des acteurs de leur vie et pas des spectateurs, que ce soit sur le plan de la formation, de l’orientation, de l’accès au premier emploi et au premier logement. Nicolas Sarkozy a de l’ambition pour eux et leur propose des mesures concrètes : par exemple le travail étudiant ne sera plus soumis à l’impôt de façon à permettre à chacun de pouvoir gagner de l’argent pendant ses études sans être effectivement soumis à l’imposition. C’est leur permettre aussi d’emprunter dans de biens meilleures conditions et de rembourser leur prêt plus tard une fois leur situation consolidée. Par ailleurs toutes les mesures visant à revaloriser le travail concernent bien évidemment les jeunes et pour faciliter leur accès à l’emploi nous nous fixons un objectif de 5% du taux de chômage dans les cinq ans.

Quel est l’avenir de nos territoires ruraux ? 

L’avenir des territoires ruraux tient une place très importante dans le projet de Nicolas Sarkozy. Il ne peut y avoir de croissance durable sans que nous puissions nous appuyer et sur un tissu industriel et sur une agriculture forte. C’est vrai au plan national et c’est d’autant plus vrai en Picardie, dans notre région. C’est aussi le maintien des services publics, des activités économiques en milieu rural. Nous avons ainsi mis en place les pôles d’excellence rurale, il faut continuer dans cette voie.

L’Aisne se mobilise pour Sarkozy : où en est la mobilisation et comment peut-on le soutenir ? 

Nous sommes dans la toute dernière ligne droite avant le premier tour, il faut plus que jamais se mobiliser car rien n’est joué. Beaucoup de Français n’ont pas encore arrêté leur choix définitif. Il nous faut donc en permanence être sur le terrain car une campagne présidentielle s’est aussi une campagne de terrain.

Que pensez-vous des autres candidats aux élections présidentielles ? 

Je n’ai pas à juger, ni à commenter les campagnes des autres candidats. La seule chose, c’est qu’ils seraient bien inspirés de mettre un terme à l’agression verbale contre Nicolas Sarkozy, les insultes, car ce n’est pas du niveau d’une campagne présidentielle. Ils n’ont pas compris que les Français attendent avant tout qu’on leur parle du fond, des enjeux de société.

En conclusion, malgré le pessimisme des français, avez-vous espoir pour la France ? 

Je pense que les Français ont besoin de renouer avec la confiance et l’espérance et il y a un vrai potentiel pour cela. Je crois qu’aujourd’hui les Français se sont éloignés de la politique : nous devons bien évidemment les réconcilier.

Ainsi, il convient de tout dire avant et tout faire après. C’est de cette façon que nous pourrons leur redonner confiance. Cette campagne passionne les Français : il y a beaucoup de monde dans les réunions, beaucoup de monde qui écoute les différentes émissions et je suis persuadé qu’il faut savoir nous appuyer sur ce sentiment nouveau. D’ailleurs, dans cette campagne présidentielle, je sens que la confiance vis-à-vis de Nicolas Sarkozy ne cesse de se renforcer.

Témoignage.

   

Brigitte THUIN-MACHEREZ

Conseillère municipale de Pernant

Candidate au législatives dans la 4ème circonscription.

Pourquoi soutenez-vous  Nicolas SARKOZY ?

Si je me suis engagée derrière Nicolas Sarkozy, c’est que sa vision de la France correspond à la mienne. Et seul un homme aussi déterminé, un homme ayant autant à cœur de servir la France, un homme qui sait faire les bons diagnostics pour offrir les meilleures solutions, peut et doit accéder à la fonction de Président de la République. Cet homme, c’est Nicolas Sarkozy. Voilà pourquoi j’ai fait le choix de m’engager à ses côtés, pour lui offrir une majorité capable d’engager le redressement de la France, car ensemble tout devient possible.

Nicolas SARKOZY dit qu’il faut travailler plus. Est-ce que tout le monde en a envie et est-ce que ça ne va pas augmenter le chômage ?

 D’abord il est effectivement nécessaire de travailler davantage, c’est une condition indispensable si l’on veut redonner du souffle à notre économie. Comment peut-on prétendre améliorer la situation des françaises et des français, en les enfermant dans l’assistanat. Celles et ceux qui ont cette vision, on le comprend bien, ne l’ont que pour une simple raison de fonds de commerce électoral, prétendant être les seuls défenseurs de l’état de misère de certains aux seuls fins de voir leurs voix se porter sur leurs candidatures. Il serait de la même manière irresponsable de penser et de dire que travailler plus sera une obligation pour tout le monde ; si tel était le cas alors nous ne serions pas responsables mais socialistes puisqu’ils s’en sont montrés capables avec les 35 heures pour tous ; nous en connaissons le résultat : gel des salaires, perte de pouvoir d’achat … Dans notre projet travailler plus, c’est avant tout une démarche volontaire, qui se traduira par un bénéfice direct pour celles et ceux qui en auront fait le choix : deux chiffres pour le démonter : 4 heures de travail hebdomadaire et c’est plus d’un 13^ème mois de salaire pour les salariés rémunérés au SMIC. Enfin, retrouver du pouvoir d’achat parce qu’on aura travaillé plus, c’est relancer la consommation et donc par réaction relancer les commandes des entreprises, qui embaucheront pour y répondre. Voilà un cercle vertueux, et non le cercle vicieux dans lequel la gauche française enferme les salariés de notre pays.

Quelles sont les valeurs que vous défendez avec lui ?

Une Nation rassemblée autour de valeurs qui ont été détruites depuis plus de 25 ans dont 15 sous régime socialiste; on peut me dire qu’il y a eu 10 ans de gouvernement de droite, mais quand à chaque fois il faut reprendre le métier et que ce dernier se trouve dans un état plus grave encore, alors nul gouvernant de droite n’est doté des pouvoir de Merlin l’Enchanteur qui d’un coup de baguette remédiait à tout. La France, je la vois et je la souhaite de tout cœur : grande, debout, au travail plutôt qu’à se désespérer ou se lamenter ; généreuse car elle en aura retrouvé les moyens plutôt que d’écraser la tête de nos enfants sous le poids de la dette publique ; sure pour que chacune et chacun de nous, enfants, adultes ou personnes âgées, puissent vivre en paix et en liberté que ce soit de penser, de parler et surtout de faire des choix pour son avenir. Il s’agit bien sûr d’une liste non exhaustive.

En quoi l’identité nationale est-elle importante ?

 La critique est toujours facile, on le voit bien. Et même pire que cela, nos concurrents pratiquent une fois encore le « calomnié, calomnié … il en restera quelque chose ! ». Enfin soyons sérieux. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de l’ensemble de nos traditions, de nos valeurs, des libertés fondamentales qui font que la France fait envie. Et puisqu’elles font envie à tant de personnes, ce qu’il ne faut pas regretter, il faut tout simplement faire connaitre ce qu’est la France : ses droits, certes ; mais surtout les devoirs auxquels il faut répondre afin de s’insérer dans cette longue, grande et belle chaîne humaine qui a fait la France depuis des siècles.

Dans le programme de Nicolas SARKOZY, quelles sont les mesures pour les jeunes ?

 Que tous les enfants sortent de l’école avec le bagage nécessaire pour réussir leur vie d’adultes ; comment peut-on continuer de laisser tant d’enfants sans avenir ? Cela suffit ! L’école offrira plus de diversité aux enfants afin qu’ils puissent trouver dans le système scolaire le choix qui leur conviendra le mieux. L’enseignement supérieur et la recherche seront une priorité absolue du gouvernement de Nicolas Sarkozy, afin que tant de jeunes ne soient plus orientés vers des impasses en termes d’emploi. C’est d’ailleurs tout le sens du désir d’offrir un service public de l’orientation, de qualité. L’argent ne doit pas être un obstacle à la poursuite des études ; l’étudiant qui travaillera ne paiera pas d’impôt.

Et quel est l’avenir de nos territoires ruraux ?

 
Nicolas Sarkozy, son gouvernement et donc la majorité parlementaire à laquelle je souhaite participer ; et sur laquelle ils pourront s’appuyer ; ont la volonté de défendre la Politique Agricole Commune, afin de garantir l’indépendance alimentaire de toute l’Europe. Or, nous le savons, la France est aujourd’hui l’acteur principal de ce schéma ; l’extension à 27 membres de l’Europe ne doit pas fragiliser nos territoires ruraux, et c’est bien là l’engagement pris au travers de cette défense de la P.A.C. Mais ces territoires, peuvent et doivent prendre le chemin qui s’ouvre à eux, tel les biocarburants qui seront demain le garant de leur pérennité.

L’Aisne se mobilise pour Sarkozy …Où en est la mobilisation et comment peut-on le soutenir ?

 La mobilisation est présente, elle n’a fait que croître au fil des semaines. Mais chacune et chacun y a sa place, toutes les énergies sont les bienvenues, sont profitables ; de la même manière que « seule la connaissance s’accroît quand on la partage », plus nous serons nombreux à diffuser le programme de Nicolas Sarkozy, à l’expliquer et à convaincre les électrices et les électeurs de voter pour Nicolas Sarkozy et mieux cela sera. Les Jeunes Populaires ont un rôle important dans cette campagne, ils sont l’avenir de la France, ils montrent par leur dynamisme et leurs actions qu’ils croient en ce destin que Nicolas Sarkozy veut pour la France. De plus nous sommes en période de vacances scolaires, leur disponibilité est donc plus grande au quotidien pour soutenir la campagne. Aussi leur présence durant les « 72 heures » est un atout important ; les Jeunes Populaires peuvent se mettre en relation avec le coordinateur de cette opération pour en assurer le succès ;  car « Ensemble tout devient possible. »

Que pensez-vous des autres candidats aux élections présidentielles ?

 Je n’ai pas l’habitude de faire des commentaires sur des concurrents. Le plus important à mes yeux, réside dans le projet que l’on a pour la France. Que voulons-nous ? Une France qui s’enferme et qui s’isole pour certains, qui appauvrit et asservit nos compatriotes pour d’autres, qui fait peur pour les derniers ? Je soutiens un projet, je le porte parce qu’il est le seul qui offre un avenir à la France, un espoir aux françaises et aux français : celui de voir leurs conditions s’améliorer et ne plus craindre que l’avenir de leurs enfants soit plus sombre que le leur ; celui de pouvoir vivre dignement du fruit de son travail au lieu de rester enfermer dans l’assistance en étant considéré comme inférieur. Aucun des autres candidats n’a un tel projet ; seul notre projet en plaçant la valeur travail au cœur de tout, prend en compte l’être humain. Car c’est le travail qui libère l’homme, quand l’assistanat l’emprisonne, le ronge et le détruit. Mais ces derniers mots sont « l’avenir » qu’offre les autres candidats, c’est la raison pour laquelle je n’évoque pas les concurrents de Nicolas Sarkozy.

Vous êtes candidat aux élections législatives. Est-ce difficile de faire campagne ?

Une campagne électorale n’est pas un long fleuve tranquille. Mais je ne me suis pas engagée sans le savoir. Je l’ai fait en considérant que j’avais l’énergie suffisante, que je pouvais compter sur les adhérents et les sympathisants de ma formation politique. La campagne offre par ailleurs des rencontres merveilleuses, il n’y a pas que des encouragements mais le dialogue est très souvent au rendez-vous ; c’est plaisant certes, mais surtout cela démontre que la proximité à laquelle je tiens est essentielle. Je ne suis pas une candidate qui arrive sans connaître cette circonscription, elle est mon quotidien depuis toujours, je comprends donc mieux que personne ce qui se cache derrière tel ou tel mécontentement ; cela, nul rapport ne peut le traduire. Des difficultés, dans la vie il y en a toujours, s’il n’y en avait pas dans une campagne électorale, pourrais-je dire que je partage le quotidien des électrices et des électeurs ; bien sûr que non. Mais surmonter les obstacles d’une campagne, c’est montrer par l’exemple qu’ils peuvent être franchis, et en cela je rends concret l’espoir que je veux offrir à l’ensemble des habitants de la 4^ème circonscription de l’Aisne.

En conclusion, malgré le pessimisme des français, avez-vous espoir pour la France ?

J’ai confiance dans le choix des françaises et des français ; nous sommes des femmes et des hommes intelligents, aussi je ne peux et ne veux imaginer que nous puissions ensemble faire un autre choix que celui du redressement de la France. Cette France chère à nos cœurs, cette France que nous ne voulons plus voir se désespérer, s’effondrer. Comme je suis certaine qu’ « Ensemble tout devient possible » ; c’est pour cela, que nous devons nous mobiliser et faire de Nicolas Sarkozy notre prochain Président de la République ; c’est une nécessité pour les françaises et les français, c’est essentiel pour la France.

propos recueillis par Julien DIVE.

Jeunnes et sarkozystes

jeunes populaires de picardie

 

Ségolène : le pari de l'inconstance

La Ségolène Royal des premières heures était un peu inconsciente : inconsciente des enjeux d’une présidentielle, inconsciente de la difficulté de s’imposer sans grande expérience ministérielle.

La deuxième Ségolène Royal fut inconsistante : programme inexistant, approximations inquiétantes sur les grands problèmes internationaux, flou artistique sur tous les sujets pouvant fâcher, de la fiscalité aux 35 heures ou aux retraites.

Après la Ségolène inconsciente, après la Ségolène inconsistante, nous avons aujourd’hui la Ségolène inconstante, celle qui dit :

• Un jour, je dénonce le profit rapace et arrogant, le lendemain, j’affirme aux patrons qu’il n’y a pas de honte à dégager des bénéfices

• Un jour, je laisse dire qu’il faut taxer les personnes gagnant plus de 4 000 euros, le lendemain, je n’aime plus les chiffres couperet

• Un jour, j’affirme que le projet socialiste est mon crédo, le lendemain, je le trouve ringard
• Un jour, je veux réduire la dette, le lendemain, je prévois 100 propositions qui creuseraient le déficit à 4 % du PIB
• Un jour, je veux préserver les institutions de la Ve République, le lendemain, je m’en f’rais bien une petite VIe
• Un jour, je ne daigne même pas assister pas aux séances du Parlement sur la loi contre les violences faites aux femmes, le lendemain, je prétends que le sujet est en fait tellement crucial pour moi que ma première loi sera sur ce sujet
• Un jour, je dis vouloir éviter que l’avenir de notre système de retraite passe par l’instauration de fonds de pension privés, le lendemain, je veux remettre en cause la loi Fillon qui préserve le système par répartition
• Un jour, je veux lutter contre le chômage, le lendemain, je propose le programme économique qui détruit le plus d’emplois, selon l’étude du Rexecode
• Un jour, j’aime les éléphants, le lendemain, j’ai la phobie des pachydermes
• Un jour, je veux aborder la question de la TVA sociale " sans tabou ", le lendemain, je trouve d’un coup que c’est très mal de vouloir moins taxer le travail

Quel tourbillon ! Quel renouveau permanent ! Un vent de fraîcheur souffle chaque jour sur cette campagne ainsi ponctuée d’incessants rebondissements ! Mais disons les choses clairement : attendons-nous vraiment de notre Président de la République qu’il nous fasse tant tourner la tête ?

DIMANCHE TOUT DEVIENT POSSIBLE

Témoignage.

Frédéric MEURA

Conseiler Général de la Capelle

Maire de Papleux

Candidat aux législatives dans la 3 ème circonscription de l'Aisne.

Pourquoi soutenez vous Nicolas SARKOZY?

Parcequ'il fait parti de ma famille politique! mais ce n'est pas la seule raison. Je le soutiens et en tant qu'élu, je lui ai apporté mon parrainage car c'est le seul candidat qui a un programme qui correspond aux attentes des Français et aux besoins de la france.

Nicolas SARKOZY dit qu'il faut travailler plus pour gagner plus. Est-ce que tout le monde en a envie et est-ce que ça ne va pas augmenter le chômage?

Il ne dit pas qu'il faut travailler plus. il dit que ceux qui veulent travailler plus doivent pouvoir le faire, et cela n'est pas facteur d'augmentation du chômage. Cela permettra outre d'accompagner la croissance, car en gagnant plus, les français dépenseront plus.

Quelles sont les valeurs que vous défendez avec lui?

Courage et volonté de réussir, respect et autorité.

En quoi l'identité Nationale est-elle importante?

Appartenir à une communauté signifie avoir des valeurs communes et des règles communes.

Dans le programme de Nicolas SARKOZY, quelles sont les mesures pour les jeunes?

De nombreuses mesures concernant les jeunes: école, enseignement supérieur, recherche, gestion des quartiers difficiles,  accession à l'emploi...

Et quel est l'avenir de nos territoire ruraux?

Le rural est complémentaire de l'urbain. Il nous faut préserver les territoires ruraux les respectantsur le plan 'environnemental et y respectant leur population par l'apport, quand ce n'est déjà le cas, des services et infrastructures nécessaires.

L'Aisnes se mobilise pour Nicolas SARKOZY...Où en est la mobilisation et comment peut-on le soutenir?

Lors de la fondation de l'UMP, Xavier BERTRAND espérait que l'on obtienne pour l'Aisne, 2500 adhésions. Nous sommes proches des 4000! Je suis déjà beacoup contacté par des militants, des sympthisants ou tout simplement par des personnes, qui non cartées et ne souhaitant pas le devenir, veulent se mobiliser par du collage d'affiche ou alors en incitant à voter Nicolas SARKOZY.

Cependant, il reste quelques jours, et la mobilisation doit continuer jusque la dernière minute, afin que le score de notre candidat soit le meilleur possible pour qu'ensuite, les scores des candidats aux législatives soient en corrélation.

Que pensez-vous des autres candidats à l'Election Présidentielle?

Leur programme est incomplet, irréaliste ou incohérent.

Vous êtes candidat aux élection législatives, est-ce difficile de faire campagne?

Toutes les campagnes sont difficiles, à moins d'être le seul candidat, ce qui n'est pas démocratique! L'important est d'avoir un projet cohérent, de respecter ses électeurs en ne leur mentant pas.

En conclusion, malgré le pessimisme des français, avez-vous espoir pour la France?

J'ai espoir pour la France car je fais confiance à un candidat qui ne veut qu'une seule chose: que la France soit un grand pays où il fait bon vivre, un pays prospère, un pays qui acceuille et qui aide avec des règles à respecter.

Propos recueillis par Julien DIVE

collage dans la 5ième circonscription

petite vidéo sur les collages dans la 5ième circonscription de l'Aisne

Je me présente, je m'appelle laurent et avec notre petite équipe sur-dynamique nous voulons vous montrer ce que nous faisons comme action sur le terrain.

j'aimerais qu'après avoir vu cette petite vidéo que des jeunes motivés me contacte ça serai super.

sur ce je vous dis bon visionage et surtout que la force d'action mène ver la victoire le 6 mai.

amicalement,

laurent, référant jeunes de la 5 ième circonscription de l'ump de l'Aisne.

voici l'adresse de la vidéo :

http://www.dailymotion.com/video/x1leht_collage-sud-de-laisne-jpop-uni

Le projet EFEL de Jean-Louis Borloo

Jean-Louis Borloo voit les français perdre leurs illusions quant à la possibilité de maîtriser leur destin mais a acquis la certitude, au vu de son bilan à Valenciennes et au ministère de la Cohésion sociale, que l’action publique peut être efficace.

Il identifie 4 domaines ou piliers - Emploi, Formation, Equité et Logement (EFEL) – où la France a décroché depuis 30 ans mais qui sont fondamentaux pour l’avenir.

Borloo préconise une nouvelle méthode, les programmes d’intérêt national. L’action publique repose aujourd’hui outre l’Etat sur de multiples acteurs qui doivent travailler en partenariat au sein d’Agences à l’image de l’ANRU et non plus en ordre dispersé. L’Etat doit fixer les objectifs, coordonner, réguler, évaluer, mais laisser la conduite opérationnelle aux agences, comme il l’a fait avec la rénovation urbaine.

E : Plan d’action pour l’emploi

Par les cinq programmes d’intérêt national qui suivent, Jean-Louis Borloo veut poursuivre la réduction du nombre de chômeurs que son plan de cohésion national a amorcé, avec un objectif de 5-6 %.

Ne plus être les champions de la taxe sur l’emploi

- L’essentiel de notre sécurité sociale est financé par les salaires, ce qui nous handicape ; l’auteur veut transférer 20% des taxes sur la travail vers d’autres assiettes comme la CSG, la TVA ou l’IS. Dans un premier temps, on pourra réserver cet allègement de 20 % aux PME, qui arrivent moins à profiter des niches sociales que les grandes firmes. On peut aussi alléger les CDD transformés en CDI ou les temps partiels convertis en temps pleins. Borloo propose des cotisations très réduites pour les trois premières années des emplois créés dans les TPE. Il chiffre ces mesures à 18 milliards.

Mieux gérer nos ressources humaines

- Nous avons longtemps pensé que le chômage était une pause accidentelle qu’il fallait indemniser en attendant qu’un demandeur de travail vienne rembaucher l’offreur disponible. Il est temps de reconnaître que l’offre de travail ne correspond pas forcément à une demande et qu’il ne faut pas seulement indemniser mais aussi accompagner, voire reconvertir pour répondre aux crises du recrutement.

- La sécurisation des parcours, qui consiste à dédramatiser les périodes de non-emploi, est déjà expérimentée avec le Contrat de Transition Professionnelle dont il faudra tirer les leçons.

- Aujourd’hui, c’est cette approche globale du chômeur qu’il faut assurer avec des guichets uniques. A terme, une Agence d’accès à l’emploi devra regrouper les partenaires des politiques de suivi, formation, accompagnement et financement et définir un référent unique pour le suivi de chaque chômeur.

Simplifier et favoriser le retour à l’emploi de ceux qui en sont le plus éloignés

- Si les filets de sécurité ont été des avancées sociales, ils sont trop nombreux, pas assez coordonnés et piègent les allocataires qui ne peuvent en sortir. L’Agence d’accès à l’emploi devra mutualiser les dispositifs et financements et proposer un contrat unique d’insertion sur la base du contrat d’avenir à un million d’allocataire, prévoyant 30 h d’emploi - formation par semaine.

Des contrats de progrès pour chaque secteur d’activité

- A l’exemple du contrat de progrès pour les services à la personne, qui avait cherché à identifier et à lever les blocages au développement de cette filière, chaque secteur pourrit faire l’objet de contrats de progrès.

Une stratégie d’offensive économique

- Il faut recréer un espace de réflexion public/privé pour raisonner global et repasser à l’offensive. Face aux défis de la cohésion sociale, de l’émergence de nouvelles puissances économiques, d’une démographie au mieux stagnante et de la préservation de notre environnement, nous devons mener une révolution économique, une économie du quaternaire qui s’appuiera sur les NTIC pour intégrer produits et services.

- Par ailleurs, les PME souffrent en France d’une sous-capitalisation à laquelle il faut remédier par un Small Business Act à la française et des voies privilégiées d’accès aux financements.

F : Plan d’action pour la formation

Tout en soulignant les progrès et les atouts de notre système éducatifs, JL Borloo en montre les lacunes (entre 150 et 190 000 jeunes non qualifiés par an, 100 000 déclassés de l’université). Il estime que l’on n’a pas assez fait le lien entre qualification et emploi, et que les structures sont trop nombreuses pour être efficientes.

- Il pose cet objectif de 100 % de qualifiés, qui passera par l’instauration là encore d’une agence, l’Agence nationale des formations, qui regroupera l’ensemble des acteurs de la qualification et financeurs. Il veut élargir certaines voies de formation (grandes écoles, formation professionnelle) et multiplier les passerelles entre filières.

- En second lieu, il propose une école gratuite des savoirs fondamentaux pour rattraper les retards que peuvent avoir plusieurs millions de personnes dans notre pays en matière de lecture, écriture, calcul, maîtrise d’Internet ou d’une langue étrangère, dans les locaux des écoles en dehors des périodes et horaires scolaires.

E : Plan d’action pour l’équité

Pour lui, l’avenir du modèle républicain se joue là. Il faut mettre un terme à la triple ségrégation urbaine, ethnique et socio-économique qui met en danger notre République par la rage des jeunes qui en sont les premières victimes. Si le programme de rénovation urbaine devrait permettre de combattre la ségrégation urbaine, il faut lui adjoindre un plan massif de justice sociale territoriale au travers de 6 programmes nationaux.

Mettre fin à l’inégalité entre les collectivités pauvres et les autres

- Les impôts locaux ont cet effet pervers absurde d’offrir moins de ressources aux territoires les plus en difficulté. Les transferts entre collectivités doivent tripler.

Reconnaître tous les talents

- Cela passe par la diversification de nos filières de recrutement. Il propose aux grandes écoles un taux d’élèves recrutés de manière alternative et l’institution d’une Ecole nationale supérieure, ouverte dans un premier temps à ces seuls élèves, qui alimenterait l’administration en fonctionnaires de catégorie A issus de ces quartiers.

Un soutien plus affiché aux associations

- la péréquation évoquée précédemment devrait permettre d’aider plus les associations. Dès 2008, une avance pourrait être faite pour donner une plus grande visibilité à l’action.

Un coup de rein exceptionnel en matière d’emploi

- Pour marquer immédiatement la volonté du gouvernement d’améliorer le sort de ces territoires, il propose un plan Marshall de 250 000 contrats de professionnalisation pour ces jeunes sur trois ans.

- Il fixe un objectif de 3 % des effectifs des entreprises issus de ces zones.

L’école et le quartier : la mise en réseau des moyens

- Les élèves décrochent souvent pour des raisons extérieures à l’école. Il faut offrir aux écoles les moyens d’y répondre, tant par un budget accru que par la possibilité de développer des projets d’établissement autonomes et, lorsque le soutien individuel renforcé ne peut plus suffire, proposer des structures scolaires et éducatives renforcées, si besoin en internat.

Un programme d’aide à la parentalité

- A titre expérimental pendant trois ans, l’auteur propose un contrat aux parents allocataires de l’API ou du RMI, rémunéré au Smic et qui prévoit des engagements envers l’acole, la Caf, la ville…

L : Plan d’action pour le logement

La crise du logement a eu des conséquences directes et indirectes multiples : crise du pouvoir d’achat par la flambée des loyers, de l’éducation, des finances publiques, de l’emploi… Or, les instruments existent et peuvent retrouver leur efficacité si on sait les coordonner, comme l’auteur a pu le faire pour les logements sociaux.

- Pour poursuivre ce qu’il a entrepris, il propose de créer l’Office national pour l’habitat, qui regroupera tous les acteurs du logement et sera par exemple chargé de diffuser la récente GRL (Garantie des Risques Locatifs) qui devrait permettre de remettre dans le parc à louer les logements vacants. Il lui assignerait de nombreux autres objectifs, comme développer l’accession sociale à la propriété, baisser le coût des charges, poursuivre la rattrapage dans la construction…

Qui veut gagner des ...

Pour jouer il vous suffit de cliquer sur la touche "Jouer".  Bonne Bravitude!

JD.