Brigitte THUIN-MACHEREZ
Conseillère municipale de Pernant
Candidate au législatives dans la 4ème circonscription.
Pourquoi soutenez-vous Nicolas SARKOZY ? Si je me suis engagée derrière Nicolas Sarkozy, c’est que sa vision de la France correspond à la mienne. Et seul un homme aussi déterminé, un homme ayant autant à cœur de servir la France, un homme qui sait faire les bons diagnostics pour offrir les meilleures solutions, peut et doit accéder à la fonction de Président de la République. Cet homme, c’est Nicolas Sarkozy. Voilà pourquoi j’ai fait le choix de m’engager à ses côtés, pour lui offrir une majorité capable d’engager le redressement de la France, car ensemble tout devient possible.
Nicolas SARKOZY dit qu’il faut travailler plus. Est-ce que tout le monde en a envie et est-ce que ça ne va pas augmenter le chômage ?
D’abord il est effectivement nécessaire de travailler davantage, c’est une condition indispensable si l’on veut redonner du souffle à notre économie. Comment peut-on prétendre améliorer la situation des françaises et des français, en les enfermant dans l’assistanat. Celles et ceux qui ont cette vision, on le comprend bien, ne l’ont que pour une simple raison de fonds de commerce électoral, prétendant être les seuls défenseurs de l’état de misère de certains aux seuls fins de voir leurs voix se porter sur leurs candidatures. Il serait de la même manière irresponsable de penser et de dire que travailler plus sera une obligation pour tout le monde ; si tel était le cas alors nous ne serions pas responsables mais socialistes puisqu’ils s’en sont montrés capables avec les 35 heures pour tous ; nous en connaissons le résultat : gel des salaires, perte de pouvoir d’achat … Dans notre projet travailler plus, c’est avant tout une démarche volontaire, qui se traduira par un bénéfice direct pour celles et ceux qui en auront fait le choix : deux chiffres pour le démonter : 4 heures de travail hebdomadaire et c’est plus d’un 13ème mois de salaire pour les salariés rémunérés au SMIC. Enfin, retrouver du pouvoir d’achat parce qu’on aura travaillé plus, c’est relancer la consommation et donc par réaction relancer les commandes des entreprises, qui embaucheront pour y répondre. Voilà un cercle vertueux, et non le cercle vicieux dans lequel la gauche française enferme les salariés de notre pays.
Quelles sont les valeurs que vous défendez avec lui ?
Une Nation rassemblée autour de valeurs qui ont été détruites depuis plus de 25 ans dont 15 sous régime socialiste; on peut me dire qu’il y a eu 10 ans de gouvernement de droite, mais quand à chaque fois il faut reprendre le métier et que ce dernier se trouve dans un état plus grave encore, alors nul gouvernant de droite n’est doté des pouvoir de Merlin l’Enchanteur qui d’un coup de baguette remédiait à tout. La France, je la vois et je la souhaite de tout cœur : grande, debout, au travail plutôt qu’à se désespérer ou se lamenter ; généreuse car elle en aura retrouvé les moyens plutôt que d’écraser la tête de nos enfants sous le poids de la dette publique ; sure pour que chacune et chacun de nous, enfants, adultes ou personnes âgées, puissent vivre en paix et en liberté que ce soit de penser, de parler et surtout de faire des choix pour son avenir. Il s’agit bien sûr d’une liste non exhaustive.
En quoi l’identité nationale est-elle importante ?
La critique est toujours facile, on le voit bien. Et même pire que cela, nos concurrents pratiquent une fois encore le « calomnié, calomnié … il en restera quelque chose ! ». Enfin soyons sérieux. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de l’ensemble de nos traditions, de nos valeurs, des libertés fondamentales qui font que la France fait envie. Et puisqu’elles font envie à tant de personnes, ce qu’il ne faut pas regretter, il faut tout simplement faire connaitre ce qu’est la France : ses droits, certes ; mais surtout les devoirs auxquels il faut répondre afin de s’insérer dans cette longue, grande et belle chaîne humaine qui a fait la France depuis des siècles.
Dans le programme de Nicolas SARKOZY, quelles sont les mesures pour les jeunes ?
Que tous les enfants sortent de l’école avec le bagage nécessaire pour réussir leur vie d’adultes ; comment peut-on continuer de laisser tant d’enfants sans avenir ? Cela suffit ! L’école offrira plus de diversité aux enfants afin qu’ils puissent trouver dans le système scolaire le choix qui leur conviendra le mieux. L’enseignement supérieur et la recherche seront une priorité absolue du gouvernement de Nicolas Sarkozy, afin que tant de jeunes ne soient plus orientés vers des impasses en termes d’emploi. C’est d’ailleurs tout le sens du désir d’offrir un service public de l’orientation, de qualité. L’argent ne doit pas être un obstacle à la poursuite des études ; l’étudiant qui travaillera ne paiera pas d’impôt.
Et quel est l’avenir de nos territoires ruraux ?
Nicolas Sarkozy, son gouvernement et donc la majorité parlementaire à laquelle je souhaite participer ; et sur laquelle ils pourront s’appuyer ; ont la volonté de défendre la Politique Agricole Commune, afin de garantir l’indépendance alimentaire de toute l’Europe. Or, nous le savons, la France est aujourd’hui l’acteur principal de ce schéma ; l’extension à 27 membres de l’Europe ne doit pas fragiliser nos territoires ruraux, et c’est bien là l’engagement pris au travers de cette défense de la P.A.C. Mais ces territoires, peuvent et doivent prendre le chemin qui s’ouvre à eux, tel les biocarburants qui seront demain le garant de leur pérennité.
L’Aisne se mobilise pour Sarkozy …Où en est la mobilisation et comment peut-on le soutenir ?
La mobilisation est présente, elle n’a fait que croître au fil des semaines. Mais chacune et chacun y a sa place, toutes les énergies sont les bienvenues, sont profitables ; de la même manière que « seule la connaissance s’accroît quand on la partage », plus nous serons nombreux à diffuser le programme de Nicolas Sarkozy, à l’expliquer et à convaincre les électrices et les électeurs de voter pour Nicolas Sarkozy et mieux cela sera. Les Jeunes Populaires ont un rôle important dans cette campagne, ils sont l’avenir de la France, ils montrent par leur dynamisme et leurs actions qu’ils croient en ce destin que Nicolas Sarkozy veut pour la France. De plus nous sommes en période de vacances scolaires, leur disponibilité est donc plus grande au quotidien pour soutenir la campagne. Aussi leur présence durant les « 72 heures » est un atout important ; les Jeunes Populaires peuvent se mettre en relation avec le coordinateur de cette opération pour en assurer le succès ; car « Ensemble tout devient possible. »
Que pensez-vous des autres candidats aux élections présidentielles ?
Je n’ai pas l’habitude de faire des commentaires sur des concurrents. Le plus important à mes yeux, réside dans le projet que l’on a pour la France. Que voulons-nous ? Une France qui s’enferme et qui s’isole pour certains, qui appauvrit et asservit nos compatriotes pour d’autres, qui fait peur pour les derniers ? Je soutiens un projet, je le porte parce qu’il est le seul qui offre un avenir à la France, un espoir aux françaises et aux français : celui de voir leurs conditions s’améliorer et ne plus craindre que l’avenir de leurs enfants soit plus sombre que le leur ; celui de pouvoir vivre dignement du fruit de son travail au lieu de rester enfermer dans l’assistance en étant considéré comme inférieur. Aucun des autres candidats n’a un tel projet ; seul notre projet en plaçant la valeur travail au cœur de tout, prend en compte l’être humain. Car c’est le travail qui libère l’homme, quand l’assistanat l’emprisonne, le ronge et le détruit. Mais ces derniers mots sont « l’avenir » qu’offre les autres candidats, c’est la raison pour laquelle je n’évoque pas les concurrents de Nicolas Sarkozy.
Vous êtes candidat aux élections législatives. Est-ce difficile de faire campagne ?
Une campagne électorale n’est pas un long fleuve tranquille. Mais je ne me suis pas engagée sans le savoir. Je l’ai fait en considérant que j’avais l’énergie suffisante, que je pouvais compter sur les adhérents et les sympathisants de ma formation politique. La campagne offre par ailleurs des rencontres merveilleuses, il n’y a pas que des encouragements mais le dialogue est très souvent au rendez-vous ; c’est plaisant certes, mais surtout cela démontre que la proximité à laquelle je tiens est essentielle. Je ne suis pas une candidate qui arrive sans connaître cette circonscription, elle est mon quotidien depuis toujours, je comprends donc mieux que personne ce qui se cache derrière tel ou tel mécontentement ; cela, nul rapport ne peut le traduire. Des difficultés, dans la vie il y en a toujours, s’il n’y en avait pas dans une campagne électorale, pourrais-je dire que je partage le quotidien des électrices et des électeurs ; bien sûr que non. Mais surmonter les obstacles d’une campagne, c’est montrer par l’exemple qu’ils peuvent être franchis, et en cela je rends concret l’espoir que je veux offrir à l’ensemble des habitants de la 4ème circonscription de l’Aisne.
En conclusion, malgré le pessimisme des français, avez-vous espoir pour la France ?
J’ai confiance dans le choix des françaises et des français ; nous sommes des femmes et des hommes intelligents, aussi je ne peux et ne veux imaginer que nous puissions ensemble faire un autre choix que celui du redressement de la France. Cette France chère à nos cœurs, cette France que nous ne voulons plus voir se désespérer, s’effondrer. Comme je suis certaine qu’ « Ensemble tout devient possible » ; c’est pour cela, que nous devons nous mobiliser et faire de Nicolas Sarkozy notre prochain Président de la République ; c’est une nécessité pour les françaises et les français, c’est essentiel pour la France.
propos recueillis par Julien DIVE.
pfffffffffffffff!!!POURQUOI ça déconne comme ça quand je publie???????????
Déjà le précédent j'ai dû me le taper à la main!!!! I need somebody to help me!!
Rédigé par : borlooboy | 26 avril 2007 à 20:42
Halte aux médias à la solde des socialos-communistes. L'article ci-après du Monde est infâme, laissant accroîre que Nicolas est entouré d'affairistes.
Ses récents soutiens (de Bernard Tapie à Doc Gynéco, en passant par Berlusconi et Chirac) laisse penser tout le contraîre.
Bouygues, Lagardère ! Réagissez !
http://rupturetranquille.over-blog.com/
Le Monde
Questions sur le rôle d'un beau-frère de M. Sarkozy dans la vente de Pleyel
LE MONDE | 30.03.07 | 15h25 • Mis à jour le 30.03.07 | 15h25
Rouverte le 1erseptembre 2006, la Salle Pleyel, haut lieu de la musique parisienne, est un succès. Les mélomanes savent moins que son acquisition par l'Etat, en 2004, a laissé un souvenir très mitigé au ministère des finances, dirigé par Nicolas Sarkozy de mars à novembre 2004.
Le vendeur a réalisé une belle affaire. Hubert Martigny, cofondateur d'Altran, société de conseil en haute technologie, l'a acquise pour 9 millions d'euros en 1998. Quand il la cède, en 2004, à l'Etat, par le biais d'un bail assorti d'une cession à terme, il valorise son actif à près de 90 millions d'euros après avoir fait 33 millions d'euros de travaux.
"L'Etat a été pris en otage par un contrat qui a été modifié après mon départ du ministère de la culture", assure, pour sa part, Jean-Jacques Aillagon, initiateur du projet Pleyel, mais absent de sa finalisation après avoir quitté le gouvernement en mars 2004.
Un membre du service des Domaines, à Bercy, chargé de l'immobilier de l'Etat, opposant à cette opération, relate aujourd'hui "un passage en force du cabinet Sarkozy". Et la récente découverte de la présence du beau-frère de M. Sarkozy dans le montage de l'affaire alimente les interrogations.
"Je m'occupais de l'ingénierie financière du projet, affirme au Monde Christian Ciganer, frère de Cécilia Sarkozy. J'ai travaillé avec le ministère de la culture, mais je n'ai pas évoqué ce dossier avec M. Sarkozy, cela aurait été déplacé en termes de compétences." "Je ne savais pas, jure Claude Guéant, alors directeur de cabinet de M. Sarkozy, que M. Ciganer travaillait sur ce dossier."
Quand M. Martigny acquiert la Salle Pleyel en 1998, la gestion se révèle plus complexe que prévu : il faut rénover l'acoustique ; l'Orchestre de Paris, locataire, entre rapidement en conflit avec son épouse, nommée gérante de la salle ; des professionnels résidents ne paient pas leurs loyers. En 2002, M. Martigny jette l'éponge et veut céder Pleyel à l'Etat. M. Ciganer est embauché par Arnaud Marion, l'homme de confiance de M. Martigny.
En décembre 2003, un protocole d'accord est signé entre M. Aillagon et M. Martigny : l'Etat sera locataire pendant vingt ans pour un loyer annuel de 1,8 million d'euros et le vendeur doit réaliser 20 millions d'euros de travaux pour livrer une salle de niveau international. "A ce stade, avec un bail de vingt ans, assure Guillaume Cerruti, directeur de cabinet de M. Aillagon, passé à la tête de la direction de la concurrence à Bercy, l'Etat faisait une bonne affaire."
Après quelques doutes, son successeur, Renaud Donnedieu de Vabres, reprend les négociations avec l'équipe Martigny. "La mise en examen de M. Martigny (le 19 juillet 2004, dans l'affaire des comptes d'Altran) a troublé les pouvoirs publics, mais (le ministère de) la culture devait trouver un lieu pour l'orchestre de Paris, en pleine ébullition", rapporte le directeur général de la Cité de la musique, Laurent Bayle, dont dépend aujourd'hui la Salle Pleyel.
Bercy résiste. La mission interministérielle de valorisation du patrimoine immobilier de l'Etat (Mivpie) s'émeut, alors, "du problème de la valorisation du bien acquis par l'Etat", note son délégué général, Jean-Pierre Lourdin.
Selon M. Guéant, les Domaines, la Mivpie, la direction du budget et les affaires juridiques s'inquiétaient des termes du contrat. Ils refusent d'entériner le fait que le loyer payé par l'Etat serve à réhabiliter la salle de concert mais aussi les bureaux qui y sont attachés.
Le loyer de ses bureaux de grand standing sera perçu par le seul bailleur. "Soit 1,5 million d'euros par an et des loyers non capés", relève M. Ciganer. L'Etat ne touche pas un euro de loyer sur un immeuble dont il paye la rénovation : les travaux de la salle de concert sont donc de fait à la charge du locataire.
"Pour nous aussi, la pression était maximale, dit M. Marion. Nous avons signé, le 16 juillet, le contrat de promotion immobilière sans avoir signé avec l'Etat et, le 19, M. Martigny était en garde à vue."
Le ministère de la culture tente de passer en force et adresse à M. Sarkozy une demande de "passer outre" l'avis des services des finances. Pour y répondre, M. Guéant convoque, le 17 septembre 2004, les services récalcitrants qui réitèrent leur opposition.
M. Sarkozy, arguant de l'urgence du déblocage, donne son feu vert, le 22 septembre, à la faveur d'un argument qui fait fléchir les Domaines. "Nous avons trouvé la solution, se félicite M. Ciganer, en cédant le tout pour 1 euro au terme d'un bail de cinquante ans, l'Etat devenait propriétaire et pouvait donc assumer les travaux."
Jamais l'Etat n'a signé de bail aussi long et le prix payé sera encore plus lourd lorsque M. de Villepin annoncera, en 2006, la création d'une grande salle de concert à Paris ; Pleyel perdant, alors, de sa valeur marchande.
"Il était impératif que Pleyel rouvre ses portes, tranche M. Guéant, et que Paris retrouve son standing en matière de salle de concert, la modification des termes de la négociation a permis de débloquer la situation."
Jacques Follorou
Article paru dans l'édition du 31.03.07
Rédigé par : frédéric maurin | 26 avril 2007 à 22:41
J'apprécie l'ironie de ce message ! :)
Le Monde un journal socialo-communiste? On aura tout lu lol...
Bien sûr que Sarkozy est le candidat des puissances de l'argent et des affairistes, comme le montre avec ironie Frédéric Maurin :)
Rédigé par : Jeune impop | 26 avril 2007 à 23:04